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Portrait : Sonia Mac Veigh, administratrice d’un OPCA

Vous avez suivi une formation chez nous. Pouvez-vous nous dire laquelle, quand, ce qu’elle vous a apporté ?

En 2012, j’ai effectué une validation des acquis professionnels après 8 ans d’exercice en qualité de coordinatrice du centre d’accueil thérapeutique de jour Dantjou Villaros, établissement de la Croix Rouge Française situé à Perpignan.

Cette étape, nécessitant un travail personnel important, m’a néanmoins permis d’intégrer la « Licence d’Ingénierie et Santé Publique » proposée par Espace Sentein, en mars 2013. Au-delà d’une réelle légitimité, l’ensemble de ces formations m’ont permis d’acquérir de véritables outils managériaux, nécessaires au quotidien pour la gestion et la mise en place de projets divers dans ma structure.

Pouvez-vous nous présenter votre structure, les services proposés et le poste que vous y occupez ? Un projet particulier à nous présenter ?

En 2013, des travaux d’extension ont été réalisés pour adapter au mieux les locaux afin d’accueillir les usagers et leur famille avec une attention particulière portée en réponse aux besoins des usagers atteints par la maladie d’Alzheimer ou de démence apparentée.

Ainsi, un vrai lieu de vie a vu le jour avec certaines particularités telles que des espaces de déambulation, un jardin thérapeutique sécurisé ou une cuisine thérapeutique.

L’ensemble de ce projet s’est inscrit dans le projet d’établissement spécifique à la structure, largement étayé grâce aux apports des formations effectuées chez Espace Sentein, en lien avec l’université de Lille

Quels sont les plus grands challenges de votre mission ?

Les profondes mutations que connaît le secteur Médico-Social nécessitent des compétences techniques spécifiques. Ainsi, au-delà du savoir-être, le métier de responsable d’équipe requiert un savoir-faire avec une réelle motivation, beaucoup d’investissement et de travail personnel.

Gérer une équipe, c’est aussi savoir la fédérer et lui permettre de travailler avec des moyens humains et matériels suffisants, corrélés aux différentes évolutions que connaît le secteur.

S’engager dans cette formation, c’est donc aussi s’engager avec ses collaborateurs en tenant compte de ces nombreuses exigences.

Quels conseils pourriez-vous donner à de futurs diplômés ? Quelles questions doivent-ils se poser ?

1° Suis-je capable d’accumuler une charge de travail supérieure à celle que je connais déjà dans mon exercice quotidien ?

2° Suis-je assez motivé (e) pour suivre cette formation ?

Un petit mot pour conclure ?

La gestion des ressources humaines, la conduite de projet, les exigences de la loi 2002-2, l’approche budgétaire des établissements Médico- Sociaux sont autant d’apports qu’offre la formation « d’Ingénierie et Santé Publique ».

Outre les échanges avec d’autres stagiaires, le stage réalisé dans le cadre de la formation constitue un réel enrichissement et surtout de belles rencontres !!!

Je tiens à remercier l’ensemble des formateurs d’Espace Sentein et de ILIS  pour leur professionnalisme, leur écoute et leur disponibilité pour nous accompagner vers la réussite.

Pour conclure, je dirais qu’en tant qu’administrateur d’un OPCA, et ayant la connaissance des différents types de formation continue de notre secteur, j’ai pu apprécier la qualité de cette formation.

L’obtention du diplôme de niveau 2 est le gage de réelles compétences à l’exercice du métier de responsable d’équipe ou de cadre de santé, ce que confirme aujourd’hui le bon fonctionnement de ma structure qui connait un taux d’occupation de 100% et de fortes demandes.

Je souhaite une bonne rentrée à tous les futurs stagiaires !

Portrait : Emmanuel Panis, diplômé de la formation DEMS

Portrait : Emmanuel Panis, diplômé de la formation DEMS

Diplômé de la formation DEMS, Emmanuel Panis a su atteindre ses objectifs professionnels rapidement et développe actuellement un projet autour de la bientraitance. Désormais Directeur Général de l’ARASS, il a accepté de répondre à nos questions.

Vous avez suivi une formation chez nous. Pouvez-vous nous dire laquelle, quand, ce qu’elle vous a apporté ?

J’ai suivi la formation DEMS, je fais partie de la promotion 27 (2011-2012), Cette formation m’a permis de réaliser mes objectifs professionnels dans des délais assez courts.

Pouvez-vous nous présenter votre structure, les services proposés et le poste que vous y occupez ?

L’ARASS (Association pour la Réalisation d’Actions Sociales Spécialisées) est une association bretonne qui intervient auprès de l’enfance. Les services proposés sont regroupés en deux pôles : un pôle protection de l’enfance (MECS, AEMO, AER…), ainsi qu’un pôle médico-social (CMPP,CAMSP,ITEP,SESSAD). elle emploie près de 300 salariés et accompagne plus de 1000 enfants et familles. Je suis Directeur Général de l’ARASS depuis septembre 2013.

Un projet particulier à nous présenter ?

Nous avons lancé une démarche associative de promotion de la bientraitance avec la formation de référents inter-établissements (avec le concours d’Espace Sentein), afin d’établir une charte associative de bientraitance qui sera le socle d’une culture partagée de bientraitance au sein des établissements et services de l’association dans les années à venir.

Quels sont les plus grands challenges de votre mission ?

Avoir une vision globale du fonctionnement de l’Association, de ses établissements et services, de son environnement.

Etre proactif dans la proposition et la mise en place de stratégies associatives afin d’assurer l’amélioration continue de sa qualité, son développement, son innovation, sa pérennité.

Quels conseils pourriez-vous donner à de futurs diplômés ? Quelles questions doivent-ils se poser ?

Le choix du sujet du mémoire est essentiel afin d’accomplir au mieux son projet professionnel. C’est ce qui m’a permis d’accéder, dans des délais raisonnables, à un poste de Directeur Général.

Un petit mot pour conclure ?

Le DEMS est une formation innovante mêlant théorie et visites d’entreprises. Elle permet d’identifier et de matérialiser les stratégies, les outils à mettre en œuvre afin de faire évoluer son établissement et renforcer sa position de Directeur.

Portrait : Stéphanie Barbe, « la possibilité d’évolution dans notre société est possible »

Fraîchement diplômée de la formation DEMS, Stéphanie Barbe travaille en EHPAD et souhaite travailler à la valorisation des compétences.

Vous avez suivi une formation chez Espace Sentein. Pouvez-vous nous dire laquelle, quand, ce qu’elle vous a apporté ?

J’ai suivi la formation DEMS, Promotion 33, qui a débuté en novembre 2012 et vient de se terminer en novembre 2014. Je suis donc une jeune diplômée de la certification  « Dirigeant de l’économie médico- sociale » et du diplôme universitaire de 3ème cycle « Management et marketing de l’économie médico- sociale ».

J’ai choisi cette formation pour la diversité de son contenu, les contacts professionnels hors du secteur dans lequel je travaille, et son format pédagogique. Durant toute cette période, j’ai pu me questionner sur le devenir du secteur médico-social, en découvrir la multitude de structures et les problématiques s’y rattachant. J’ai pu ainsi envisager un regard plus pertinent sur l’organisation d’un établissement. Enfin, elle m’a apporté de la confiance dans ce que je fais ainsi que de la solidité dans mes décisions.

Pouvez-vous nous présenter votre structure, les services proposés et le poste que vous y occupez ?

Je travaille dans un établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes appartenant à la fonction publique hospitalière. Afin de répondre aux besoins de son territoire de santé, l’EHPAD a modifié sa politique d’accueil et d’admission des citoyens et apporte une réponse tant sur les domaines d’hébergement, de suivi médical et paramédical que sur le maintien du lien social des personnes au travers d’une animation quotidienne.

Je suis entrée dans l’établissement en mars 2009 sur une création de poste de cadre de santé, poste que j’occuperai jusqu’au 31 décembre 2014. Le poste évolue en effet de la coordination des soins à la direction adjointe opérationnelle. Aujourd’hui, le fait d’obtenir un diplôme de niveau 1 me permet de proposer un tutorat à une infirmière de l’établissement pour devenir coordinatrice de soins, occupant moi-même dans l’avenir le poste de directrice déléguée de site.

Un projet particulier à nous présenter ?

La communication est le projet le plus important de l’établissement. Il s’appuie sur un plan d’amélioration continue de la qualité de 2 ans. Aidée de l’ensemble des équipes, la structure a aujourd’hui besoin de s’exposer aux regards extérieurs. La remise en place des niveaux d’informations et la stabilisation du système d’information, qu’il soit matériel ou organisationnel, permettent une clarté des rapports humains et une transparence de l’information envers la population et les salariés.

Quels sont les plus grands challenges de votre mission ?

Plusieurs domaines sont des challenges. Comme vu dans la question précédente, l’exposition est un risque mais également un facteur de visibilité de la qualité des accompagnements.

Ma mission continue dans l’accompagnement de la responsabilité de chacun au regard de sa place dans l’établissement (résidents, salariés, famille et entourage) ; dans la prestation que l’agent donne au quotidien ; dans l’adhésion de tous les acteurs au projet d’établissement ; et au-delà des handicaps de sa fonction, dans le partage et la solidarité.

Quels conseils pourriez-vous donner à de futurs diplômés ? Quelles questions doivent-ils se poser ?

Cette formation est un chemin que nous empruntons avec des pauses et des retours en arrière, mais toujours dans une dynamique de progression, de changement. Le conseil que je peux donner est de commencer dès la session à l’ILIS à Lille, de rassembler les documents, de lire et de s’interroger continuellement. Les moments de vide où l’écrit n’est pas présent contribuent à la lecture. Cette formation demande du temps, de la réflexion.

Le directeur de mémoire est le vecteur de cette réflexion. Il ne prend pas la personne par la main, c’est plutôt celle-ci qui le prend par la main et le conduit vers son objectif. Ce dernier est l’embryon du changement.

Un petit mot pour conclure ?

Je remercie l’ensemble des personnes qui m’ont accompagnée dans ce parcours. De l’agent de services non qualifié, au poste que j’occupe aujourd’hui, la possibilité d’évolution dans notre société est possible, réalisable et permet la valorisation des compétences ; démarche que je transmets à mon tour aux salariés.

Portrait : Didier Vanhoutte, 40 ans d’expérience à partager

Portrait : Didier Vanhoutte, 40 ans d’expérience à partager

Convaincu, bien avant la loi 2002-2, de la nécessaire mise en place de l’évaluation dans les établissements, Didier Vanhoutte s’est formé tout au long de sa carrière. Aujourd’hui, c’est lui qui transmet son expérience.

Pouvez-vous nous présenter votre parcours ?

Mon parcours professionnel a commencé à l’obtention de mon diplôme d’éducateur spécialisé. Cependant, comme je l’ai obtenu avant la loi de 1975, j’ai dû me former en permanence pour répondre aux injonctions publiques.

Quelles formations avez-vous suivies ?

J’ai commencé par un Master 2 en Management des prestations de service. Puis, j’ai obtenu mon diplôme DEMS (Dirigeant de l’Economie Médico-Sociale) en 2000. J’ai également plusieurs certifications : formateur en bonnes pratiques professionnelles, évaluateur externe et ingénieur performance.

Quels postes avez-vous occupés ?

J’ai occupé divers postes partout en France. J’ai exercé les fonctions d’éducateur spécialisé, chef de service, directeur d’établissement, directeur général… J’ai aujourd’hui monté ma structure pour l’évaluation externe et depuis trois ans, je suis formateur pour Espace Sentein. Je fais également partie du comité de suivi de l’AFNOR et préside depuis deux ans l’A2E.

Qu’est-ce que l’A2E ?

L’A2E est l’Association Européenne des Evaluateurs Externes. Elle regroupe les évaluateurs externes certifiés AFNOR. L’objectif est de développer des actes d’accompagnement des jeunes et anciens certifiés, tout en créant un réseau d’évaluateurs externes. Ceci leur permettant de travailler en partenariat.

Pourquoi vous être dirigé vers la formation ?

Je transfère en transmettant mes connaissances en formation et en accompagnement des compétences. Je trouve que l’on a fait des tas de choses bien, maintenant il faut les écrire. Je compte sur les nouveaux diplômés et certifiés pour prendre le relais !

Portrait : Norbert Petit, du secteur privé au secteur du handicap

La reconversion professionnelle vers le secteur social et médico-social, Norbert Petit l’a vécu il y a de cela 17 ans. Aujourd’hui directeur de 2 ESAT (Etablissements et Services d’Aide par le Travail) et d’un CITL (Centre d’Initiation au Travail et aux Loisirs), il ne regrette pas d’être passé du secteur de l’entreprise à celui du handicap.

Portrait d’un professionnel qui vit cette double compétence comme une chance.

De quel secteur d’entreprise venez-vous ?

J’ai une double culture : 16 ans de business en tant que chargé d’affaires en gestion de grand comptes à l’international, et aujourd’hui pas loin de 17 ans dans le médico-social.

Qu’est-ce qui vous a décidé à vous reconvertir dans le médico-social ?

Je souhaitais passer de l’entreprise à un secteur qui serait au service de quelque chose d’autre. L’idée était de mettre les compétences de l’entreprise au service du secteur du travail protégé. Au départ, il devait s’agir d’une pause, mais elle dure depuis 17 ans !

La reconversion a-t-elle été difficile ? 

Il y a 17 ans, le secteur médico-social n’était pas tout à fait prêt à accepter les schémas de l’entreprise. Ce fut donc parfois frustrant, mais cela m’a permis d’accompagner le changement et de faire évoluer des organisations. J’ai commencé dans un ESAT dans lequel il n’y avait aucune notion de marketing avec trois périodes de déficit à son actif.

Quelles ont été les principales difficultés ?

J’avais la connaissance, mais j’avais également besoin de légitimité. Je me suis donc formé et j’ai passé mon D.U. (Diplôme Universitaire) chez Espace Sentein. J’ai fait partie de la promotion 16 de ce qui s’appelle aujourd’hui la formation DEMS (aujourd’hui, Espace Sentein en est à la formation 37, ndlr).

Qu’est-ce que cette formation chez Espace Sentein vous a apporté ?

Cette formation m’a permis de maintenir le cap et de redresser les établissements pour lesquels je travaillais et de les rendre un peu plus pérennes. Cela m’a également permis de gagner une certaine « notoriété » dans l’organisme gestionnaire. Je me suis alors vu confier un établissement de plus, puis un service d’accueil de jour. J’ai ensuite continué à développer de gros projets, notamment au niveau Européen

Et aujourd’hui ?

J’ai récemment changé d’organisme gestionnaire pour reprendre 3 établissements : deux ESAT et un CITL.

Depuis un an, on essaie de rattraper le retard de ces établissements par rapport à toutes les obligations pour accompagner le changement.

Aujourd’hui, j’accueille même un stagiaire de la promotion DEMSE qui est en reconversion professionnelle.

Que diriez-vous à un cadre dirigeant du secteur privé qui se poserait la question de franchir le pas et se reconvertir dans le secteur social et médico-social ?

La reconversion professionnelle n’est pas difficile en tant que telle. Mais le secteur médico-social est un secteur assez fermé avec une culture qui lui est propre. Le fait de venir du monde de l’entreprise amène les gens à supposer que l’oi n’a pas forcément le même objectif. L’image de l’entreprise est une empreinte qui nous colle à la peau.

Si la personne qui souhaite se reconvertir vers le secteur du médico-social a la possibilité de faire un stage longue durée, cela ne pourra qu’être bénéfique.

Un petit mot pour conclure ?

Cette chance que j’ai, et que je considère comme une véritable opportunité, est d’avoir cette double culture. Cela permet de mieux accepter, accompagner et vivre le changement. Cela me permet également de m’adapter plus facilement. J’ai une vision de ce qu’est l’entreprise au sens réel du terme, ce qui ne peut être qu’un plus dans cette période de changement.

 

Portrait : Linda Desmoulins, certifiée « Evaluateur externe expert »

Portrait : Linda Desmoulins, certifiée « Evaluateur externe expert »

Le colloque, qui s’est tenu le 21 janvier dernier à Paris, a été l’occasion de revoir nombre d’anciens participants aux formations d’Espace Sentein. Parmi eux, nous avons retrouvé Linda Desmoulins. Rencontre avec l’une des toutes premières personnes à avoir obtenu la certification « Evaluateur externe expert ».

Juriste de formation, Linda Desmoulins est entrée dans l’univers du médico-social en 1996, en tant que responsable RH d’un ESAT (Etablissements et Services d’Aide par le Travail). Depuis, elle n’a plus quitté ce domaine et s’est formée pour mieux cerner les problématiques liées à cet univers. Aujourd’hui, elle est directrice du CICAT (Centre d’Information et de Consultation en Alcoologie et Toxicomanie) de Chartres.

Diplômée de la formation DEMS

Linda Desmoulins a choisi de se former en 2003, au sein d’Espace Sentein. La formation DEMS (Dirigeant de l’Economie Médico-Sociale) lui a permis d’obtenir la certification AFNOR et le diplôme universitaire de 3ème cycle « Management et Marketing des Structures de l’Economie Sociale » de l’université de Lille 2. « Ce qui m’a plu, explique-t-elle, c’est cette perception du secteur médico-social dans une échelle d’économie sociale. L’économie peut être mise au service du social, et c’est cette valeur ajoutée que je trouve intéressante ».

Suite à cette formation, Linda Desmoulins a pris la direction de différents établissements, tout en continuant à se former.

Certifiée Evaluateur Externe Expert

En 2009, elle participe à la formation « Responsable de l’Evaluation Qualité des Organisations Sociales » et obtient, en 2010, la certification « Evaluateur Externe Expert ».

Pourquoi avoir choisi cette formation ? Avant tout, pour s’en servir en interne : « Je souhaitais continuer dans cette approche économique afin d’évaluer nos actions et le sens de ces actions au service des usagers. L’idée était d’avoir les outils de mesure en interne », explique-t-elle.

Depuis, elle également conduit des évaluations dans divers établissements.

Assidue des colloques annuels d’Espace Sentein

Linda Desmoulins était présente au colloque sur le thème « 2014 – 2016 : Les enjeux du secteur social et médico-social », comme elle l’était aux précédents.

« Je trouve que les colloques sont une bouffée d’oxygène par rapport au quotidien. C’est un espace de réflexion, ce qui nous permet de prendre du recul. C’est aussi l’occasion de voir comment évolue le secteur ».

En savoir plus sur les formations évaluateur externe :

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Principales expériences professionnelles de Linda Desmoulins :

  • Directrice d’un CSAPA depuis 2010 : mise en œuvre et développement des actions du CSAPA : préparation du renouvellement des autorisations ; préparation des évaluations interne et externe.
  • Directrice d’un SESSAD pour enfants déficients intellectuels (2004-2010) : mise en œuvre et réalisation du projet de service ; développement des réseaux de partenaires ; mise en œuvre de l’évaluation interne.
  • Directrice Adjointe Service d’Aide à la Personne (2002-2004) : réalisation du projet fédéral départemental ; conduite de projets de création de services ; aide et conseil auprès des associations locales.
  • Responsable des ressources humaines ESAT-Entreprise Adaptée (1996-2002) : recrutement, formation, évaluation du personnel, démarche qualité.

 

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